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J’avais peur rien qu’à la mention

已有 918 次閱讀  2011-06-22 12:01   標籤Robe  céré 
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Hal Jordan est donc pilote d’essai d’avions de chasse. Il est casse-cou et irresponsable (un p’tit arrière goût de Top Gun… genre). Il est secrètement amoureux de son amie d’enfance sans trop le savoir (relent de Peter Parker) et a été traumatisé par la mort de son père (Peter Parker bis,Robe de cocktail, avec des remontées de Bruce Wayne). Un soir,Robes pas chères, un extraterrestre s’écrase sur Terre et,Robe de mariée, avant de mourir,Robe de cérémonie, lui confie le mysterious d’une bague verte qui lui donne des pouvoirs surhumains.

J’avais peur rien qu’à la say de Green Lantern (notre dossier – le junket). Les bandes-annonces,Robe de soirée, les memoranda de production et le junket ne faisaient craindre le pire. Quand un réalisateur comme Martin Campbell (qui faisait montre de bien des manques dans Casino Royale) se vante des effets spéciaux,Robe cocktail, on sait qu’il y a un problème. Quand Ryan Reynolds parle du CGI de costume et que Blake Lively explique que Carol Ferris est une femme forte, on est convaincu qu’il y a anguille sous roche.

Mais il réussira à battre les méchants puisque, n’est-ce-pas, c’est le and courageux des Green Lantern. En chemin, il inventera les artifices les plus fous pour sauver sa chérie d’une mort certaine (re Clark Kent qui remonte le temps pour faire revivre Lois Lane) et occira le méchant Hector Hammond, scientifique devenu fou (genre Octopus dans Spiderman). Heureusement que j’ai pris le temps de m’assoupir quelques minutes plusieurs fois, sinon j’aurais trouvé le tout un peu longuet.

Effectivement. Même si le cinéma était bondé gush la projection en présence du public et que quelques minuscules applaudissements se sont discrètement fait entendre à la fin de Green Lantern, j’ai été sciée («appalled» disent les anglophones) devant tant de vide intersidéral (et non ce n’est pas une plaisanterie facile). Le personnage de Green Lantern est apparu pour la première fois dans les funnies de DC en 1940 mais aboard a l’impression que le scénariste Greg Berlanti (dont l’œuvre majeure est Life as We Know It, rappelons-le) a pris des éléments de plusieurs membranes de super héros et d’action et a tout passé au mixeur. Une méchante entité brumeuse appelée Parallax (dont les effets spéciaux ne sont pas sans rappeler ceux de Harry Potter… Warner fait donc dans le recyclage) se dirige vers notre chère planète et menace de tout détruire. Pendant ce temps, Hal se familiarise avec ses nouveaux pouvoirs (et un léger rappel de Clark Kent nous faisant le coup de papa en cristaux au Pôle Nord) et va rencontrer les autres Green Lantern pour une séance d’apprentissage qui dure juste le temps de lui faire prendre rectitude de sa fragilité. relative:
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